Depuis
toujours la description a aidé l'homme à mieux s'exprimer. C'est pourquoi dans
les oeuvres littéraires tout comme dans la vie courante, la description est une
nécesité plus qu'une simple expression artistique.
Ainsi, la description joue
un role très importante dans l'économie d'une oeuvre littéraire parce que grace
à elle on peut mieux connaitre un personnage, un endroit ou bien une situation.
Une description suppose d'habitude des détails et grace à c'est détails le
lecteur peut mieux comprendre et meme aimer un personage ou, pourquoi pas, un
livre car les livres eux-aussi peuvet etre, par exemple, selon l'oppinion d'un
écrivain français contemporain Claude Roy, " plutot des amis que des
serviteures ou des maitres ". On doit au moins mentionner que meme si la
description était plus utilisée dans les oeuvres classiques, elle ne cesse pas
d'exister aujourd'hui dans les oeuvres modernes quoique la manière d'écriture
se développe incessement.
Par exemple, dans les fragment
" Une toile ", d'après Paul Valéry, " Pièces sur l'art",
celui-ci choisit de présenter ce qu'un tableau de Monet - le portrait de Berthe
Morisot - a de commun avec la création d'un poète. Ce qu'il y a de plus
important dans cette analyse de la peinture, c'est l'affirmation que Monet y a
travaillé comme un poète. Tout comme un poète maitre de son art, le génie du
peintre réussit à rendre toutes les données de l'ensemble desquelles se dégrage
devamt les yeux du spectateur la charmante présence d'une femme. Le portrait
ressemble au modèle physique et, ce qui est encore admirable, nous suggère des
attitudes et des singularités qui sont du domaine de la secrète du personnage.
Il z a là le charme feminin et le tragisme de l'expression, son regard distrait
et lointain, alliés à la bizarrerie artistique de la coiffure et aux details de
son chapeau original.
Dans le fragment " Une vieille servante "
qui est un extrait du roman " Madamme Bovary ", Gustave Flaubert
s'arrete avec la description sur le portrait d'une vieille femme qui toute sa
vie avait su servir sans se plaindre, qui avait peiné pour que ses maitres
s'enrichessent et qui, après cinquante-quatre ans de service, était récompensée
avec vingt-cinq francs - témoignage du mépris de ces bourgeois épanouis envers cette femme. Le
portrait de cette femme prend peu à peu contour en partant de ses vetements
pauvres jusqu'à ses traits physiques. Le prosateur nous la présente d'aborddans
une brève phrase: [...]
on vit s'avancer sur l'estrade une petite vieille femme de maintien craintif et
qui paraissait se ratatinerdans ses pauvres vetments ". Le spécifique de son travail etait
profondement impregné à son aspect extérieur: le visage moigre plus plissé de
rides qu'une pomme de reinette flétrie, les mains noueuses qui étaient si
encroutées, éraillées, dures qu'elles semblaient sales quoiqu'elles fussent
rincées d'eau claire. Ce sont les mains qui font l'humble témoignage de tant de
douffrences subies.